Vendredi 2 octobre, les acteurs du projet GENDER BALANCE POWER MAP se sont réunis au Pavillon Carré de Baudoin à Paris, dans le cadre d’un atelier participatif :« L’accès des femmes aux postes à responsabilité, quelles différences entre l’ESS et l’économie classique ? ». Des acteurs impliqués L’économie classique et l’économie sociale et solidaire (ESS) présentent des spécificités en termes d’accès des femmes aux postes à responsabilité. C’est en partant de ce constat que le projet ambitionne de faire prendre conscience aux entreprises le besoin d’améliorer les conditions d’accès des femmes aux postes décisionnels. Et à l’issue de ce projet, de mettre en évidence les bonnes pratiques et d’élaborer des outils susceptibles de promouvoir une plus grande égalité professionnelle entre les hommes et les femmes. 6 pays européens ont répondu à l’appel à projet à travers des entreprises locales.
- La Belgique, avec le think & do tank européen POUR LA SOLIDARITÉ – PLS et l’entreprise sociale JUMP,
- La République tchèque, avec l’Institut de Sociologie – Académie des Sciences (Institute of Sociology – Academy of Sciences),
- La Finlande, avec la Fondation Kokkotyo,
- La Italie, avec le ConsortiumGino Matarelli Soc (CGM) ,
- La Roumanie, avec la Fondation PACT
Et bien évidemment la France avec FACE, Fondation Agir Contre l’Exclusion. Le Projet Le projet se déroule en plusieurs phases. La première consiste en la réalisation d’une étude nationale sur la situation des femmes dans les postes décisionnels dans chacun des pays partenaires. Les résultats sont partagés et échangés au cours de trois ateliers participatifs, comme celui d’aujourd’hui. De ces ateliers découle une étude comparative mettant en avant les bonnes pratiques européennes à mettre en place. L’ensemble des résultats seront diffusés lors des événements nationaux programmés et lors de la conférence européenne finale prévue en mai 2016. Pour accéder au site du projet. Voir notre page dédié sur le site. Contact : s.miclet@fondationface.org